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Culture
Evidemment, ce ne sont pas des Ray-Ban, mais ca permet un clin d’oeil historique :
La Wayfarer est une paire de lunettes de soleil fabriquée par Ray-Ban, depuis 1952. Leur conception constitue une rupture par rapport aux lunettes en métal qui les précédaient. Les Wayfarer deviennent populaires dans les années 1950 et 1960, en particulier après avoir été portées par Audrey Hepburn en 1961 dans le film Diamants sur canapé ainsi que le chanteur de folk Bob Dylan ou de blues Ray Charles. Ces lunettes de soleil avaient décliné dans les années 1970 mais firent leur retour au milieu de années 1980 grâce à de nombreux placements-produit dans des films (Risky Business en 1983, Deux flics à Miami en 1986…). Elles déclinèrent à nouveau dans les années 1990 puis firent encore un retour à la fin des années 2000.
Les Wayfarer sont parfois citées comme une des meilleures ventes de conception de lunettes de soleil dans l’histoire et on les a appelées l’« une des icônes les plus connues de la mode du xxe siècle. »
Source : Wikipedia, évidemment !
Disponibles pour tous ceux qui en veulent, jusqu’à rupture de stock…
La course aux cent voiliers
Les bateaux cette fois ci, pas ceux qui fabriquent les voiles…
Régate de mon coeur comme tous les ans.
Communiqué de presse – Lundi 11 juin 2018
34e Tour des ports de la Manche : moins d’un mois avant le coup d’envoi !
La 34e édition du Tour des ports de la Manche partira de Saint-Vaast-La-Hougue le 8 juillet prochain. Événement incontournable du programme nautique normand, il réunira comme chaque année les aficionados de la voile mais également les spectateurs et passionnés, fidèles à cette course conviviale et spectaculaire. Dans moins d’un mois, le coup d’envoi sera donné le long du littoral manchois, le rendez-vous est pris !
« La régate phare de Normandie »
Le Tour des ports de la Manche 2018 se déroulera du 8 au 13 juillet prochain. Marc Lefèvre, Président du conseil départemental de la Manche, dresse le portrait de cet événement qui s’inscrit dans l’ADN du département : « Depuis 34 ans, le Tour des ports de la Manche est l’une des courses croisières les plus importantes du littoral français et la régate phare de Normandie. Elle s’inscrit, avec l’ensemble des événements nautiques de la Manche, dans notre démarche d’attractivité. Avec 110 bateaux et 700 régatiers néophytes ou assidus, ce défi nautique bénéficie d’un bassin de navigation d’exception avec les îles Chausey, la baie du Mont Saint-Michel et les courants les plus forts d’Europe. Il incarne l’identité de la Manche et des Manchois ! »
Car « le Tour » est pour beaucoup le rendez-vous de l’année à ne pas manquer. Sportif et festif, il est l’occasion de se confronter à une flotte de régatiers expérimentés tout en profitant d’une parenthèse vélique conviviale. Et si tous les concurrents s’alignent au départ de cette course avant tout pour le plaisir, nombreux sont ceux qui le font avec une envie non dissimulée de victoire. Et c’est bien là toute la force de cette régate : allier l’émotion à la ferveur.
Le parcours 2018 vu par…
Vainqueur incontestable et incontesté l’an dernier, Pierre Auguin, à bord de son Pied d’Allouette basé à Granville, sera de nouveau sur la ligne de départ du Tour des ports de la Manche cette année. Il nous livre son analyse du parcours version 2018 :
« On commence par la partie qui me parait la plus compliquée. D’entrée de jeu, on franchit les deux Raz, Barfleur puis Blanchard, des étapes qui ne sont jamais faciles à gérer. Les erreurs y sont vite arrivées et se payent chères. Il ne faudra donc pas se rater. Et pour nous, Granvillais, c’est un plan d’eau que l’on connaît moins, nous naviguons plus rarement de ce côté de la Manche, nous avons donc moins de certitudes… Entre nous, je ne suis pas persuadé que mes certitudes payent à tous les coups quand nous sommes aux alentours de Granville mais au moins, j’en ai !
Puis Port-Diélette. C’est toujours une escale singulière, tant en mer qu’à terre. Même si la bonne ambiance est constante sur le Tour, Port-Diélette et sa choucroute de la mer sont toujours mémorables. Ensuite, nous rentrons dans notre jardin, nous jouons dans notre cour mais il ne faut rien lâcher à bord car bizarrement nous n’avons jamais brillé à domicile. Les fameuses certitudes peut-être…
L’étape Port-Diélette / Guernesey est sans doute ma préférée. Elle est toujours un peu chevaleresque ! Les courants, les coups tordus, les options nord ou sud, on a de quoi se gratter la tête.
Mais disons-le, le Tour est une course que l’on attend toute l’année et si le soleil s’en mêle alors là… »
Les dates à retenir
- 8 juillet : Grand départ – Saint-Vaast-la-Hougue / Cherbourg-en-Cotentin
- 9 juillet : Cherbourg-en-Cotentin / Port-Diélette
- 10 juillet : Port-Diélette / Guernesey
- 11 juillet : Guernesey / Barneville-Carteret
- 12 juillet : Barneville-Carteret / Jersey
- 13 juillet : Jersey / Granville – Arrivée
Le parcours de la 34e édition
Contact presse : Alexandra Asselin – C&Sea / 06 72 67 14 25 / presse@tourdesports50.fr
Inscription & informations sur tourdesports50.fr
Le port aux cent voiliers
En référence évidemment à ma ville natale, on a la pierre, eux le tissu donc.
Quel bonheur de débarquer dans un port comme Cherbourg, avec donc ses maîtres constructeurs, ses bateaux (sur l’eau…), et surtout – HOMMAGE – sa (ses d’ailleurs) boulangerie Toulorge, mon étape incontournable de mes journées inimitables cherbourgeoises.
Plein de bateaux, plein de boulot. Un bas-étai, des drisses, des écoutes et des lazy jacks, entre autres petits lashings par-ci par-là.
Et pour commencer, l’important n’est toujours visible qu’avec le coeur, en images pour que les yeux y aient droit : insertion estrope pour écoutes de spi J80 et sous-gainage de drisse Sun Fast 3600.
Et quelques photos, toujours les descriptions en passant dessus
La puissance du port du Havre
Quelques projets terminés cette semaine, plein de cordages qui traversent la Seine en même temps, direction l’Anse des Régates du Port de Plaisance du Havre. Et encore du Mini 650, vive le travail du 6 mm, easy.
Merci à la SNIP pour le boulot sur le Grand Soleil sous la pluie évidemment. C’est facile. Il est tard. Bon à la SNIP ils assurent quoi.
Et comme d’hab, je sais pas trop trier… Mais bon les images c’est facile à lire…
Grand Soleil 39 – Ecarteurs de Génois
Cousin Dynasty Pro gaine Polyester, épissure avec la super surgaine 48 fuseaux ensimée de Lancelin et puis le combo loop + Velcro + TBone. Et des anneaux à friction FRX de Wichard.
Grand Soleil 39 – Ecoutes et Bras de Spi
Cousin Aramadillo pour les écoutes, avec terminaison textile, Lancelin Millenium pour les bras. Je kiffe tellement cette référence – gaine mixte Polyester/Technora et âme mixte Dyneema/Vectran, surtout surgainée en noir.
Grand Soleil 39 – Pataras
Qui ne s’allonge pas. SK99 tressé long.
Grand Soleil 39 – Le reste
Lazy-jacks avec Shock Ronstan.
Fixations des poulies de Grand Voile.
Drisse de Génois, avec, une fois n’est pas coutume, du Liros XTR. Fourni par Uship Ouistreham.
Et la petite bordure custom avec âme SK99 tressé long et gaine de Cousin Dynasty Pro mixte Technora/Polyester.
A31 – Bras de Spi et Pataras
Pataras avec surgaine pour protéger du ragage de la latte là haut et bras avec tressage Dyneema pour les mâchoires de tangon.
Mini 650 – Quelques drisses.
Et aussi une paire de palans de bastaques. Les drisses en Cousin Dynasty Pro.
Et forcement la référence du titre…
Minis !
Deux Mini 650 en même temps, le 925 (Pogo 3) et le 660 (Tip Top), ça donne ça :
A Chausey ou ailleurs…
En course, à la pêche, en promenade, en croisière, avec une quille, deux, pas, Mysplice vous souhaite de belles navigations et une :
et même en jaune
Hook de ris, emmag de spi
Direction Madère pour tout ça. Encore du matériel préparé ici pour la Transquadra, ca fait plaisir ! Il rejoint des bras de spi (beaucoup), des drisses (encore plus) et des hooks de ris – ci-dessous les deux premiers – et plein d’autres choses aussi, par exemple une cinquantaine de dog bones.
Une mention spéciale à l’accastilleur Karver qui fait travailler les artisans, il en faut du textile pour installer leurs “pieces of art”. La description des travaux réalisés en passant sur les photos, comme d’hab.
Octopussy (the 1983 one)
Je sais il n’y a que 6 bras, admettons que les deux autres (pour faire huit) sont les miens. Sinon ca aurait donné sextopussy et non seulement ce n’est pas un titre de film mais en plus je ne suis pas sur que niveau référencement je touche la cible attendue. Bref je m’égare. Et d’ailleurs, six c’est plutôt hexa.
Voilà donc 3 paires de bras de spi en Aramadillo – la promo fonctionne ! – avec la finition Mysplice complète, soit la platine, le TBone Tylaska avec son loop, le tressage de protection et une épissure, aussi.
Plein de photos, comme d’hab.